vendredi 3 décembre 2010

Les InstantAnnick.

















Ce mercredi, mon petit photographe de mari m'a emmenée dans un charmant hôtel de charme pour une séance de pose en vue de la préparation de sa prochaine exposition "Les InstantAnnick".

Je vous offre cette photo pour vous en donner l'ambiance. Il faudra attendre l'exposition pour en voir plus.

A bientôt.

mercredi 3 novembre 2010

Arrêt sur image


Bonjour !
Voici un nouvel instantané pris par Jean-François lorsque je m'habille.

Cette photographie va rejoindre une nouvelle série que je réalise avec lui sur le corps en mouvement dans des instants de vie.
Je ne me priverai pas de vous présenter ces photographies au fur et à mesure de leur réalisation.

dimanche 17 octobre 2010

Le pubis ! Osons en parler ! (12)

« C'est un lieu commun, mais je vais le dire quand même : j'aime beaucoup ce que vous faites, surtout vos nus personnels, superbe modèle à la vulve lisse annelée d'argent » Hélène.

Rappel :
J’ai aimé poser nue pour des artistes qui avaient de la franchise et de l’audace pour décrire quasi anatomiquement mon corps féminin nu, en ce compris ma vulve, en lui donnant, par le jeu des lumières, des couleurs, noblesse et beauté. Sans s’écarter de la réalité, sans renier la réalité, sans tronquer cette réalité.

Qu’en ai-je retiré à titre personnel ?

· L’élargissement de mon ouverture d’esprit déjà élevée grâce au naturisme. Les mots n’ont plus la même valeur pour moi, les choses et les actes non plus.

· J’ai surtout appris à placer la nudité dans son contexte et de ne pas la sortir de celui-ci.

C’est la théorie des cercles que m’a enseignée Jean-François.
Chaque démarche s’inscrit dans un cercle précis. Ce cercle a donc ses propres limites, ses règles précises. Chaque cercle a une porte d’entrée et une porte de sortie.
En décidant de franchir la porte d’entrée d’un cercle, on s’engage à respecter ses limites et à se conformer à ses règles jusqu’au moment où l’on franchit la porte de sortie du cercle.
Dans ma vie, je distingue trois cercles de la nudité :

- le premier appartient à la nudité naturiste.
Celle-ci est individuelle, familiale et/ou collective. Individuelle car je suis toujours nue à la maison, dans mon atelier, même lorsque je suis seule.
Elle est familiale parce je suis nue à la maison en famille. Jean-François l’est aussi.
Elle est collective lorsqu’elle se vit sur une plage naturiste ou dans un centre naturiste.
Elle est naturellement vécue dans le sens où je vis nue comme si j’étais habillée, sans changer d’habitude.
Elle n’a, en aucun cas, une connotation sexuelle.
Elle peut artistiquement être reproduite tant en photo, qu’en peinture, qu’en sculpture mais cette reproduction restera naturelle et non posée. Et autorisée.
Elle est limitée dans le sens où je ne reçois pas mes amies et amis ou autres, nue.

- le second appartient à la nudité artistique en tant que modèle.
Celle-ci est individuelle dans le sens où je suis, seule, nue devant un artiste habillé.
Elle est posée puisque je pose nue en adoptant les poses requises par l’artiste.
Elle n’a aucune connotation sexuelle puisqu’elle est tout simplement artistique.
Elle est d’emblée artistiquement reproduite puisque c’est sa raison d’être.
Elle est limitée à l’espace qui sert de studio, à la durée de la séance.
- le troisième appartient à la nudité sexuelle.
Elle est duelle puisqu’elle n’est vécue qu’avec Jean-François
Elle est strictement limitée à la sphère privée du couple.
Il n’y a donc pas de tierces personnes qui interviennent dans cette nudité.
Elle est la seule à avoir une connotation sexuelle.
Elle n’est artistiquement pas reproduite. Ce n’est pas sa raison d’être.
A suivre, ...

mercredi 6 octobre 2010

Imagination !


Photographie réalisée ce mercredi 6/10/2010 par mon petit photographe de mari, en mon salon.

dimanche 26 septembre 2010

Le pubis ! Osons en parler ! (11)

« C'est un lieu commun, mais je vais le dire quand même : j'aime beaucoup ce que vous faites, surtout vos nus personnels, superbe modèle à la vulve lisse annelée d'argent » Hélène.

Qu’en ai-je retiré à titre personnel ?

Que du positif ! Que du pur bonheur ! Et une grande leçon de vie.



















En premier lieu, un énorme bond en avant dans mon affranchissement ! Je n’ai plus d’appréhension devant la porte d’un artiste. J’y entre seule, je fais connaissance avec lui.
Le moment venu, je me déshabille à mon aise même s’il me regarde faire. C’est son droit et de toute manière, je vais être nue sous son regard durant les quelques heures de la séance. Quelque part, c’est aussi une preuve qu’il attache de l’attention à moi, dès le départ.
Une fois nue, je me présente devant lui et j’attends la suite. Ce n’est pas devenu une routine, loin de là.

Chaque séance est un nouveau moment, une nouvelle rencontre mais je l’aborde sereinement. C’est devenu un réel plaisir d’être.

Ensuite :
· La capacité de faire abstraction de principes, de préjugés, de tabous inutiles et rébarbatifs.
Poser nue ne fait pas de moi une épouse infidèle, une mère indigne, une catin !
Poser nue fait de moi, une femme épanouie et heureuse, aimée et soutenue par son époux, par ses enfants.

· La force de me surpasser pour aller jusqu’au terme de ma démarche, quelle qu’elle soit. Je ne pense plus. J’agis selon mon instinct. Je franchis mon mur et puis, seulement après, j’analyse.

C’est grâce à cela que j’ai pu vivre pleinement ma séance de moulage intégral sur corps. Lorsque l’artiste est arrivé au moment d’enduire mon pubis de vaseline, comme je l’explique sur mon site, il m’a demandé si je voulais le faire moi-même. J’ai refusé en restant dans ma logique des choses qui veut que lorsque j’entre dans ce genre de séance de pose, j’en accepte toutes les composantes.

Je n’étais pas prise au dépourvu. L’artiste, lors d’un entretien préalable à cette séance, m’avait expliqué dans les moindres détails le déroulement de celle-ci. A commencer par le fait qu’il devrait m’enduire totalement le corps de vaseline, question de séparer le corps des bandes de plâtre.

Je savais donc que je vivrais ce moment délicat mais je voulais vivre cette expérience. Je me suis donc surpassée car j’ai horreur que l’on pose les mains sur moi, encore plus en cet endroit.
A suivre, ...

mardi 14 septembre 2010

Les demoiselles du Louvre.

En janvier 2008, je me suis rendue à Paris.
J'en ai profité pour visiter les jardins du Louvre et découvrir ces magnifiques sculptures qui rendent hommages tant à la femme qu'aux modèles.

Je vous laisse les regarder.




































vendredi 10 septembre 2010

Le pubis ! Osons en parler ! (10)

En outre, le nom de ce tableau (L'origine du monde de Courbet) correspond bien à une réalité, le pubis étant un lieu vénérable en ce que nous sommes toutes et tous passé(e)s par lui lors de notre venue au monde. C’est par cette jolie fenêtre à deux battants que nous avons découvert la lumière, l’air, sortant de la nuit du ventre de notre maman !

Faudrait-il alors cacher ce merveilleux lieu de vie, ne pas en montrer ses vénustés ? Au nom de quoi, de qui devrait-on le censurer artistiquement ? Faudrait-il le réserver aux seuls plaisirs de la chair et l’exclure du regard artistique ?

Mon ami le peintre belge Paul BRUYNEELS m’a offert dernièrement une toile qui reflète ce que je pense du pubis, une jolie fleur magnifiquement représentée. Cette toile me fait plaisir car elle rend joliment hommage à la féminité, au pubis, tout en douceur, en délicatesse.

Aurais-je aimé être la modèle de Courbet pour ce tableau ?
Alors là, oui, sans hésitation, sans problème et avec beaucoup de plaisir. Et pour bien d’autres de ses tableaux. Si, bien sûr, j’avais pu croiser son chemin et qu’il me l’usse demandé (en toute modestie de ma part). A la différence que je ne possède pas la même pilosité que son modèle de l’époque.
Qu’importe, même avec la mienne le message aurait été le même : charnel et lyrique.
En rien pornographique.
Comme la toile qui m’a été offerte par Paul ne l’est en rien.
J’ai aimé poser nue pour des artistes qui avaient de la franchise et de l’audace pour décrire quasi anatomiquement mon corps féminin nu, en ce compris ma vulve, en lui donnant, par le jeu des lumières, des couleurs, noblesse et beauté. Sans s’écarter de la réalité, sans renier la réalité, sans tronquer cette réalité.
Qu’en ai-je retiré à titre personnel ?
A suivre.

lundi 6 septembre 2010

La mère et l'enfant.

Bonjour à toutes et à tous,

J'étais en promenade, hier, dans le village de CHOOZ dans le nord de la France.

Sur la place, j'ai découvert cette jolie sculpture dont l'auteur n'est pas renseigné, malheureusement.

A l'avenir, je publierai des photographies de sculptures de femmes que je découvre au fil de mes promenades.

A bientôt.

dimanche 5 septembre 2010

Confidenti'Elles.



En exclusivité pour vous, l'invitation au vernissage de ma prochaine exposition.

lundi 30 août 2010

Le pubis ! Osons en parler ! (9)

« C'est un lieu commun, mais je vais le dire quand même : j'aime beaucoup ce que vous faites, surtout vos nus personnels, superbe modèle à la vulve lisse annelée d'argent » Hélène.

Courbet n'at-il pas eu la chance d’avoir son modèle pour réaliser son œuvre L’Origine du monde » ?
Courbet n'a cessé de revisiter le nu féminin.

Mais avec "L'Origine du monde", il s'autorise une audace et une franchise qui donnent à son tableau son pouvoir de fascination.

La description quasi anatomique d'un sexe féminin n'est atténuée par aucun artifice historique ou littéraire.

Grâce à la grande virtuosité de Courbet, au raffinement d'une gamme colorée ambrée, "L'Origine du monde" échappe cependant au statut d'image pornographique.

"L'Origine du monde", désormais présenté sans aucun cache, a retrouvé sa juste place dans l'histoire de la peinture moderne.

Mais il ne cesse pourtant de poser d'une façon troublante la question du regard.

Eh oui, c’est toujours cela la question : le regard que chacun porte sur le nu féminin.
Courbet était un peintre qui s’exprimait au travers ses peintures. Depuis, la photographie est présente mais ne change pas grand-chose à la démarche artistique. La même pose en photographie n’est pas pornographique, elle est tout simplement artistique. Et n’a pas à souffrir d’un cache.

L’ai-je déjà prise ?
Oui, à plusieurs reprises et sans regret ni remord.
J’en suis très heureuse et très fière. Encore plus lorsque j’ai vu Jean-François encadrer ces photos et les accrocher aux murs de notre salon privé !
Je peux donc m’exprimer en toute connaissance de cause.
Et j’y reviendrai car l’audace et la franchise de l’artiste est une chose, l’audace et la franchise de la modèle en est une aussi.
Je n’y trouve rien de pornographique et encore moins de déplacé.

Au contraire, je suis fascinée par la beauté des photographies, par la beauté que représente un corps féminin nu, un sexe féminin. Et je l’ai déjà écrit, je ne fais pas de différence entre mon pubis et mes jolis yeux. Car à regarder les très belles photos de mon pubis, je le trouve aussi beau que mes jolis yeux.

D’ailleurs, qu’y a-t-il de pornographique dans la représentation du nu féminin, même du sexe féminin ? Il n’y a rien d’obscène, de vulgaire ; d’abject lorsque la pose est naturelle, pas forcée ! C’est la représentation d’une réalité. Ne pas vouloir la voir, c’est refuser l’évidence, c’est quelque part de l’hypocrisie, de la négation. Oser le regarder, c’est certainement s’en enrichir, le voir différemment, le respecter.

A suivre, "En outre, le nom de ce tableau correspond bien à une réalité, le pubis étant un lieu vénérable ..."

jeudi 26 août 2010

Réaliser un passe-partout.

Bonjour à toutes et à tous,

Je vous invite dans mon atelier afin de vous faire découvrir, pour celles et ceux qui ne savent pas comment cela se réalise, la réalisation d'un passe-partout pour mon dernier pastel "La Belle étoilée", dont vous trouverez sa réalisation sur ce blog en cliquant ici.

Oui, je les réalise moi-même et c'est Jean-François qui les encadre.

Première étape, je prépare sur ma table de travail les ustensiles dont j'aurai besoin à cet effet.

Ensuite, je plonge dans ma réserve pour sortir une grande feuille de passe-partout, chez moi, les passes-partout sont toujours noirs.



















En route pour ma table de travail.

Je dépose délicatement la feuille sur la table pour ne pas la froisser ou la tâcher.

Je dessine ensuite les contours du passe-partout au format du cadre dans lequel je vais l'encadrer, un 50*70 centimètres.

A l'aide d'un cutter de très haute qualité, je découpe la feuille. Attention les doigts, cela coupe !


Une fois fait, je la mets sur le côté, mets à place les excédents pour une prochaine réalisation. Pas de gaspillage car une feuille de passe-partout coûte très cher.

Je mesure les dimensions de mon pastel et les marque sur le côté pour connaître les dimensions intérieures du passe-partout.


Je reprends mon passe-partout, le retourne et je marque les traits des limites intérieures du passe-partout.

Je trace ensuite les lignes qui vont me servir de repaire pour couper l'intérieur du passe-partout.


Pour ce faire, j'utilise une règle spéciale "Mat Master" qui permet de couper les côtés en biseau.


Je détache le passe-partout de son centre.


Mon passe-partout est prêt.


Je le positionne sur mon pastel pour voir le résultat et je retourne le tout.


A l'aide du cutter, je retire ce qui dépasse du passe-partout.

A l'aide de papier collant, je fixe les bords de mon pastel sur l'arrière du passe-partout.



Et voilà le travail. Je passe maintenant la main à Jean-François pour qu'il l'encadre.

mercredi 25 août 2010

Le pubis ! Osons en parler ! (8)

« C'est un lieu commun, mais je vais le dire quand même : j'aime beaucoup ce que vous faites, surtout vos nus personnels, superbe modèle à la vulve lisse annelée d'argent » Hélène.

Vous me direz que c’est intime !

Oui, c’est intime, parfois extrêmement intime.

La nudité au sens large du terme, dans notre société moderne, est intime car elle dévoile ce que l’habit cache.

Dévoiler sa poitrine est déjà intime car elle vous montre sa vérité, pas celle qui se cache sous l’habit, qui se corrige par le soutien-gorge.
Vos seins sont montrés tels qu’ils sont, sans artifice, avec leurs émotions.

Cela en est de même pour tout votre corps.

Mais dans la pose nue, la nudité est encore plus intime que dans la nudité vécue dans la pratique du naturisme, par exemple.

Tout d’abord parce que c’est une relation privée en ce qu’elle se passe en studio ou dans un espace privé non accessible au public.

Parce que c’est une relation duelle entre l’artiste et vous.

Parce que vous ne connaissez généralement pas l’artiste avant la séance, que vous le découvrez comme il vous découvre.

Qu’à cet artiste, vous allez confier durant quelques heures, votre nudité pour qu’il puisse exercer son art.

Et que vous êtes nue et lui habillé.
Ah oui, il faut que je précise que Jean-François a toujours refusé de m’accompagner lorsque je posais nue, jugeant qu’il n’y avait pas besoin de chandelles entre l’artiste et le modèle. Qu’il m’appartenait de gérer mes séances de pose sans devoir toujours se retourner vers lui pour savoir si je pouvais prendre telle ou telle pose.
C’est difficile à certains moments mais il a raison.

C’est intime parce que l’artiste dispose d’un droit absolu de vision sur votre nudité. Il a le droit de prendre tout son temps pour vous découvrir visuellement dans les moindres détails. Vous êtes son modèle et à ce titre, vous êtes, non pas son objet mais son sujet qu’il tient à connaître pour mieux le reproduire.

Vous êtes le support vivant de son œuvre, sa source d’inspiration. C’est ainsi et pas autrement !

C’est intime par la distance qui vous sépare de l’artiste. Elle peut varier de deux mètres à quelques centimètres.

Sans oublier que vous êtes souvent immobile au contraire de lui qui bouge tout le temps, qui tourne autour de vous constamment.

C’est infiniment intime lorsque l’on rentre dans des registres particuliers comme l’érotisme, le fétichisme ou le charme.

Ou lorsque vous rentrez dans d’autres domaines artistiques comme le moulage sur corps où là, les mains s’invitent sur votre nudité, ce qui n’est pas le cas dans la photographie, le dessin, la peinture, la sculpture ou le body-painting.

Oui, c’est extrêmement intime lorsque l’artiste se focalise exclusivement sur votre pubis. Et vous demande de prendre des poses expressives qui ouvrent la vue sur les plus infimes détails de votre intimité.

Je le rappelle, c’est son droit absolu. Vous êtes son modèle pour lui permettre d’exercer son art à sa façon.
A suivre : "Courbet n’a-t-il pas eu la chance d’avoir son modèle pour réaliser son œuvre « L’Origine du monde » ?"

samedi 21 août 2010

Le pubis ! Osons en parler ! (7)

« C'est un lieu commun, mais je vais le dire quand même : j'aime beaucoup ce que vous faites, surtout vos nus personnels, superbe modèle à la vulve lisse annelée d'argent » Hélène.

Rappel :
Si on n’accepte pas cette vision totale de sa nudité, il faut oublier la pose nue.

Car en posant nue, on devient un modèle pour l’artiste, on prend les poses qu’il demande, oui, sans aucun doute, on se dévoile intégralement à lui avant de se dévoiler à vous.

Et pour moi, poser nue c’est poser nue, pas partiellement nue sauf lorsque j’aborde des thèmes comme le fétichisme, le charme ou l’érotisme.

L’artiste voit ce qu’il voit et il a le droit de tout voir. Il s’attarde sur telle ou telle partie de votre corps et il en extrait ce qu’il en a envie. Et au travers ses œuvres, il vous montre ce qu’il a envie de montrer de vous, pas ce que vous aviez envie de voir de vous.
C’est là où il est passionnant de voir votre nudité présentée sous diverses formes, sous diverses facettes, sous diverses visions.
C’est en cela qu’il est passionnant de poser nue car chaque artiste à sa vision de vous, se fixe différemment sur telle ou telle partie de votre corps.
C’est en cela qu’il faut assumer son image et puisqu’il s’agit de ce sujet, qu’il faut assumer la coupe pubienne que l’on a décidé d’adopter.
Vous me direz qu’elle est de ce fait plus attirante comme cela qu’en étant recouverte d’un épais pelage. Qu’elle éveille certainement plus l’attention, l’intérêt, la curiosité. D’autant, et j’y viendrai, qu’elle est ornée d’un bel anneau d’argent.
Je vous étonnerai en vous disant que dans la majorité des cas, ce n’est pas le cas. Que le corps est vu dans son ensemble et pas dans le détail.
A suivre : "Vous me direz que c’est intime !"